Etre libre de toute autorité, de la vôtre et de celle d’un autre, c’est mourir à toutes les choses d’hier, de sorte que votre esprit est toujours frais, toujours jeune, innocent, plein de vigueur et de passion. C’est seulement dans cet état que l’on apprend et observe. Et pour cela, une grande conscience est nécessaire, la conscience réelle de ce qui se poursuit à l’intérieur de vous-même, sans la corriger ou dire d’elle ce qu’elle devrait ou ne devrait pas être, parce que dès le moment où vous la corrigez vous avez mis en place une autre autorité, un censeur.
Mourir à toutes les choses d’hier – Se Libérer du Connu
Une famille et une histoire comme tant d'autres, l'envie de la partager (avec personne peut être)mais sûrement le besoin ineffable de déverser ici des moments de notre vie. Sans doute une histoire d'égo frustré me pousse à faire cela, mais je tenterai à travers ces lignes de me faire pardonner. Avec enfin, un projet mal embouqué de partir découvrir le monde sur un voilier. La pure folie encore ici...
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mardi 7 janvier 2014
Etre libre de toute autorité, de la vôtre et de celle d’un autre, c’est mourir à toutes les choses d’hier
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